Lebadang pratique l’art du papier découpé, entre vide et plein, qui laisse voir, au travers, la lumière comme un théâtre d’ombres. En 2006, il illustre un chant-légende du peuple Hmong L’aimée de la rivière noire, paru aux Editions Alternatives et traduit par Mireille Gansel, avec des découpages de personnages et d’animaux dans des papiers reproduisant les motifs des textiles Hmong et représentant des scènes de la vie quotidienne dans les montagnes du nord du Viêt Nam.